Catalyseurs pas catholique.

Comme je commence un nouveau blog, il est peut-être de bon thon de "mode y fier" et modifier ma façon d'écrire afin de mieux coller avec l'esprit générale de cette plateforme.

Le problème étant que je ne lis personne ici et que je ne pense pas vraiment le faire... Il serait probablement plus sage que je continue sur la même ligne et la même lignée (hop, répétition subliminale...).

Tu veux une petite histoire comme tu les aimes, qui fait pleurer les plus récalcitrantes et miauler les plus "raies cale citron"... enfin les culs serrés quoi !

Bouge pas, j'en ai une de derrière les fagots (non pas de jeu de mot avec "faggot" ).

Il était une fois un mec, à peu près mon âge, à peu près mon sexe, à peu près ma gueule, qui devait s'occuper de faire fructifier un capital relation, dans le but inavoué et parfaitement avouable d'engraisser les caisses d'un bureau français, motivé par le joug de la croissance à 2 chiffres, contre vents et marées, contrats vrais et marrant toujours dans l'esprit.

Il faisait admirablement bien son job, le sourire en coin, la dent brillante et allongée, le costume bien repassée, la chemise seulement dans sa partie visible, c'est à dire entre l'espace des deux pans de la veste, s'agitant pour diffuser son parfum enivrant, censé endormir le chaland sur les contrariétés qui l'ont au préalable amené jusqu'à son stand.

Après un déjeuner fort attendu pour cause de restaurant complet, il pu savourer avec ses collègues une entrecôte / frites, grand classique des ses repas du midi, étant carnivore de base et d'herbivore anthropophage (partant du principe qu'on traite des imbéciles de gros boeuf, c'est une sorte de cannibalisme).

De retour à son espace très réduit de travail, il se lança dans divers diatribes afin de vanter les mérites de ses produits miracles, censés solutionner des problèmes de portée, de débit et autres limitations des systèmes utilisant la technologie WiFi.

Mais c'était sans compter l'effet inévitable de la combinaison café / clope, amenant assez rapidement la taupe au guichet, qui aime à ne pas faire la queue et à passer quand même si on  ne satisfait pas rapidement ses doléances en matière de plongeon vers une eau claire, pour une glissade dans des profondeurs sponsorisé par les sani-broyeurs.

La petite anecdote sympa, c'est que le repas de la veille étant composé de semoule, il rencontrait déjà un problème depuis le début de cette journée, à savoir l'émission très discrète de vent fort heureusement pas odorant, au moment où un passant avait la bonne idée de tousser (on sait jamais, je joue la pr.. enfin, IL joue la prudence), car ingérer de la semoule, implique forcément un bombardement plus soutenu que lors du conflit afghan, de la part de l'administration Bush.

Alors maintenant, avec le concours de l'anti constipation express, un nouveau problème se soulevait :

comment évacuer, discrètement, un élément gênant étant apte à mystifier des haleines fétides d'interlocuteurs (non parce qu'il y a des mecs, spa possible autrement, leur gorge est aussi leur anus !) remplissant abondamment le peu d'air respirable dans l'espace confiné d'un stand partagé avec un autre constructeur de matériel informatique ? (oui oui, il a de vrais problèmes ce mec)

Je me pose encore la question, car ce pauvre zig à été obligé de se promener dans les allées pour semer le doute et l'odeur au milieu d'une foule, créant ainsi une vague de regards accusateurs, de la même manière que se propage une hola dans un stade.

Alors si tu as un astuce (bouchon, machine à coudre, doigt...) pour trouver un happy end à cette folle aventure, je suis tout ouïe.

PS : sinon l'annonce selon laquelle Bill Gates va avoir un PC rien que pour lui, afin d'éviter les erreurs sur son imposition parce qu'il est trop riche, déniche extrêmement bien les taupes, si si, ça marche encore mieux que le laxatif !!!